Wassila Et Salim Septième Partie: A LHôtel Avec Des Inconnus
Wassila et Salim
7. A lhôtel avec des inconnus
Jétais resté longtemps sans avoir de nouvelles de Wassila, ni de son mari, dailleurs. Je ne me posais pas trop de questions sur ce silence, sachant que la vie et ses aléas suffisaient à expliquer pratiquement tout. Le couple devait, comme tout le monde, affronter des problèmes et donc prendre le temps nécessaire pour les résoudre. Et le temps pris pour la résolution des problèmes de la vie est autant de temps perdu pour une vie sexuelle et érotique intense. Je ne me faisais pas trop de bile à leur sujet, sachant que lamour quils avaient lun pour lautre était suffisamment solide pour venir à bout de nimporte quel désagrément.
Et puis un jour, je reçois un mail de Wassila, mexpliquant quelle voulait me voir pour me raconter une histoire un peu bizarre quelle venait de vivre en compagnie de son mari. Elle ne savait encore comment qualifier lhistoire, en dehors quelle nétait pas ordinaire. Elle en avait tiré beaucoup de plaisir, mais elle en gardait encore un peu de gêne. Elle voulait me la raconter, à moi le chroniqueur et le confident, pour avant tout, se remettre les idées daplomb et en tirer les vraies conclusions.
Après avoir écouté lhistoire et mêtre rendu compte de la forte intensité du plaisir que le couple avait pris dans cette chambre dhôtel, je me suis dis que je pouvais me permettre de lécrire et de la faire connaître à tous ceux qui voudront bien la lire. Voici donc, narrée par Wassila elle-même, lhistoire dune nuit damour intense que lhéroïne a vécu, yeux bandés, avec des inconnus, en présence de son mari.
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Notre aventure avec le couple mixte algéro/ukrainien dura environ une année. Une année de bonheur intense pour nous quatre : Salim, Mohand, Natacha et moi. Je crois que cette période va rester dans ma mémoire comme lune des plus belles de notre vie érotique à Salim et à moi. Notre groupe était vraiment uni et solidaire.
Et puis, le pays étant ce quil est, les difficultés dadaptation apparurent et devinrent insupportables pour Natacha surtout, qui ne trouva pas de travail, malgré les promesses du premier secrétaire de son ambassade à Alger. Le couple mixte repartit pour la France où la vie était plus agréable et plus facile quà Alger. Nous nous retrouvâmes donc seuls, Salim et moi. Nous étions tristes davoir perdu de tels compagnons disponibles et toujours partants pour toutes les aventures érotiques mais pas malheureux, puisque nous nous aimions toujours autant, mon mari et moi.
Nous pouvions nous suffire à nous même pendant un temps. Le temps de rencontrer dautres compagnons de route et de vivre avec eux dautres aventures amoureuses marquantes. Salim, comme à son habitude, était en permanence à la recherche de sensations fortes. Ses fantasmes érotiques tournaient toujours autour de moi, son épouse, et du plaisir que je pouvais prendre avec dautres hommes. En sa présence de préférence ou même en son absence, à la condition quil soit au courant de mes aventures extra conjugales et que je lui raconte toutes mes sensations.
Mais depuis un certain temps, javais limpression quil préparait quelque chose dinédit pour nous. Je ne savais pas encore quoi, mais à la manière dont il parlait de certaines choses et aux questions qui revenaient souvent dans sa bouche, je savais quil avait imaginé un plan et quil était entrain de préparer son exécution. Pendant environ une quinzaine de jours, il narrêtait de me questionner sur ce que jéprouverais si je me faisais tirer par un ou plusieurs inconnus. Ce que je ressentirais si un homme que je ne connaitrais pas, dont je ne saurais rien et que je ne verrais peut-être même pas, me faisait lamour dans une chambre dhôtel ou dans un autre lieu plus imprécis.
Ces questions mavaient longtemps paru bizarres. Faire lamour avec un homme que je ne connaîtrais pas, cela métait déjà arrivé plus dune fois. Et Salim le savait parfaitement. Le plus souvent, javais pris mon pied avec ces hommes, parce que cétait mon mari qui les avait choisis. Je navais encore jamais baisé avec un homme qui maurait dragué dans la rue et emmené immédiatement quelque part pour me tirer. Javais toujours eu besoin dun peu de temps pour jauger linconnu et le transformer en amant (qui nest donc plus inconnu). Quant à ne pas voir lhomme ou les hommes qui me tireraient, je ne voyais vraiment pas comment cela pouvait être possible. Même la nuit, dans une chambre obscure, il me semblait quon pouvait toujours distinguer quelque chose. La nuit totalement noire, nexiste pas à mon sens. Et puis quel intérêt de faire lamour sans se voir ? Javais horreur du noir !
Salim avait une idée derrière fixe la tête. Et visiblement elle devenait une obsession pour lui. Il narrêtait pas dy penser et déchafauder des plans pour quelle devienne, le plus vite possible, réalité. Je connaissais bien mon homme ! Je savais quil ne sera tranquille quune fois quil aura tout mis en place. Jattendais donc avec impatience le jour où il viendra mannoncer quil avait organisé quelque chose pour moi et quil minvitera à y aller tête baissée, comme à mon habitude. Et puis une nuit, alors que nous venions de faire lamour, et quil mavait fait atteindre les sommets du plaisir (plus que dhabitude, ce qui signifiait, quil pensait très fortement à une chose qui le faisait bander encore plus fort que mon corps, quil était entrain de posséder), il me parla comme on parle à une petite fille quon veut préparer à affronter un évènement important et difficile:
- Tu sais combien je taime et combien jadore que tu sois heureuse !
- Mais je suis très heureuse avec toi !
- Ne minterrompt pas ! Jadore quand tu prends du plaisir avec dautres hommes.
- Où veux-tu en venir ? Tu commences à me faire craindre le pire !
- Je veux que toi et moi dépassions létape actuelle, pour vivre quelque chose dinédit et dencore plus fort. Vivre le fantasme absolu de toute femme adorant le sexe et lérotisme : devenir lobjet sexuel dun groupe dhommes quelle ne pourrait pas voir et qui lui feraient tout ce dont ils auraient envie.
- Je ne comprends pas !
- Cest simple. Je veux toffrir à un groupe dhommes que tu ne verras même pas pendant quils te tireront et qui feront de toi ce quils voudront dans une chambre dhôtel. Peut-être que ces hommes, tu les connais et queux aussi te connaissent, mais cela, toi, tu ne le sauras jamais.
- Et comment veux-tu que je ne les voie pas ? Ce sera la nuit et les lumières seront éteintes ?
- Non, tu auras les yeux bandés !
- Quoi ?????
- Tu auras les yeux bandés et tu me promettras de ne pas enlever le bandeau avant que je ne te le dise !
- Pas question !
Ce fut en effet ma réponse : un non ferme et définitif. Quil moffrit à dautres hommes, cela me convenait assez, puisque il lavait déjà fait et que jen avais pris énormément de plaisir. Et lui aussi ! Mais cétaient des hommes que je voyais et qui me plaisaient. Ils ne mauraient pas plu, jaurais refusé. Mais pour quils me plaisent, il est absolument impératif que je puisse les voir. Me faire tirer par un homme que je ne verrais pas, dont je ne saurais pas sil est beau ou moche, sil est grand ou petit, sil a un beau membre ou non, sil est normal ou infirme, ne me convenait pas du tout.
Je me demandais ce que Salim pouvait tirer comme plaisir de me regarder me faire posséder par des hommes que je ne pouvais pas voir. Ce que cela pouvait avoir de vraiment érotique et aphrodisiaque pour lui. Il savait pertinemment que moi je ne prendrais aucun plaisir, alors quil mavait toujours assuré que son plaisir dépendait totalement de celui que je prenais. Jétais dans le flou le plus total. Pendant presque une semaine, nous en restâmes là. Nous campions chacun sur nos positions.
Salim, comme à son habitude ne me faisait pas la tête. Même si dévidence, il était contrarié. Il continuait de se comporter avec moi de la même manière. Y compris en me faisant lamour, avec la même fougue que dhabitude. Mais je sentais quil continuait de gamberger et quil cherchait les arguments massues pour me convaincre. Une nuit, il aborda une fois de plus le sujet, en le prenant cette fois-ci, sous langle « philosophique » :
- Je ne sais pas si tu penses à tout le plaisir quune femme peut prendre en ne voyant pas lhomme ou les hommes qui lui fait ou lui font lamour. Tout ce quelle perd avec la vue, elle le gagne avec les autres sens ! Le toucher dabord : sa peau, au contact avec celle de son ou ses partenaires, ressentira deux fois plus leffet des caresses, de la chaleur, du frottement, de la pénétration, de lhumidité de sa chatte, de la viscosité du sperme et de sa propre mouille, et que sais-je encore !
- Oui mais si je ne vois pas mon partenaire, sa beauté, sa virilité, son sexe, ses yeux, sa bouche, comment veux-tu que jaie une envie quelconque ? Et puis la vue compte pour plus de la moitié du plaisir que je prends à me faire tirer. Quand je vois un magnifique zob entrain de bander et frétiller pour moi ; quand je le regarde entrer et sortir de ma chatte; quand je vois les yeux de mon amant briller de désir, ses hanches monter et descendre au dessus des miennes; quand je peux lire sur son visage tout le plaisir quil prend à me tirer; son superbe sexe gicler tout son sperme sur mon corps, mon visage, mes seins, ma bouche ; quand je vois la blancheur et la viscosité du foutre qui coule de dessous ma chatte, sur mes cuisses, et qui sétale par terre ou sur les draps du lit; tout cela participe intensifier mon plaisir et mest aussi indispensable que la seule sensation dêtre pénétrée par un magnifique zob ; et même par plusieurs.
- Si tu ne vois pas, tu peux toujours sentir et imaginer ! Et limagination en amour est fondamentale. Comment crois-tu que les aveugles prennent du plaisir en baisant ? Avec les autres sens et limagination ! Je suis sûr que tu adoreras, une fois passée langoisse du noir !
- Non jai trop peur de linconnu ! Et puis tu me connais, jai horreur de la nuit noire !
- Tu surmonteras facilement ça ! Et puis je serais tout le temps là à tes côtés ! Et crois-moi, ce sera pour toi et pour moi aussi une expérience inoubliable. Tous tes autres sens seront en alerte : tu te rendras compte de leur importance dans les relations sexuelles : louïe est un sens fondamental en amour, auquel en général, nous naccordons pas importance ; alors que tous les bruits que font deux corps qui se mêlent, se frottent lun contre lautre et se possèdent réellement aphrodisiaques, parce que limagination comble labsence de la vision et rend les choses encore plus belles. Lodeur des corps, surtout quand ils sont propres, est merveilleuse et participe pour beaucoup à élever le désir ; sans parler des odeurs plus intimes du zob et de la chatte; et même de la sueur de lhomme et de la femme. Le goût - de la peau, de la salive, de la cyprine, du sperme et même de la sueur du partenaire est lui aussi fondamental. Tu vois donc tout ce que tu gagneras, en acceptant de mettre un bandeau !
- Je ne suis pas convaincue ! Jai peur du noir et je veux pouvoir voir mes partenaires !
Mais en disant cela, je savais quau fond de moi, javais déjà accepté de tenter laventure. Non pas que les arguments de Salim avaient totalement porté, mais parce que connaissant mon mari, je savais quil continuerait à me harceler gentiment, jusquà ce que je finisse par accepter. Et Salim sentit lui aussi, quil était sur le point de gagner. Il revint sur le sujet encore deux jours de suite, répétant inlassablement les mêmes arguments, jusquà ce que je finisse par dire oui. Et dès le moment où je dis ce fameux oui, les choses saccélérèrent. Trois jours à peine après mon acceptation, mon mari mannonça que laventure sera pour la nuit suivante, dans un hôtel dont le propriétaire était un ami de longue date.
La nuit suivante en effet, habillée dune tenue de soirée super sexy (que mon mari mavait offerte pour loccasion) avec par-dessus, un léger manteau de printemps, nous arrivâmes devant un petit hôtel-restaurant situé sur limmédiate côte ouest dAlger. Nous rencontrâmes le propriétaire, un homme dune cinquantaine dannées, grand, mince portant une fine moustache avec une grande bouche gourmande de prédateur. Il nous accueillit avec gentillesse, embrassant Salim sur les deux joues, comme un ami quil naurait pas vu depuis longtemps et me tendant la main pour une poignée franche et chaude. Je voyais quil me regardait avec intérêt. Mon imagination commençait à divaguer : cest certainement lun des hommes que me destinait Salim, me dis-je en moi-même. Il me plut tout de suite et jespérais quil serait lun des hommes que Salim me destinait pour cette nuit.
Il nous invita à rejoindre la salle de restaurant pour le diner quil nous avait préparé. Le restaurant était déjà plein. La seule table de libre nous était réservée. Je voyais tous les regards se tourner vers nous. Vers moi ! Je me disais que tout le monde était au courant de ce qui se tramait et quil y avait dans la masse des clients, deux ou trois qui étaient concernés. Qui étaient programmés pour me posséder et faire de moi leur propriété pour la nuit. Jessayais désespérément de deviner de qui il pouvait bien sagir. Ce magnifique étalon brun, assis à la table immédiatement à droite de la nôtre, entrain de discuter avec une belle dame ? Ces deux jeunes hommes vingt deux ans maximum qui me dévoraient des yeux, sans vergogne? De ces trois beggars assis à la même table et qui, eux aussi, me regardaient avec des yeux brillants de concupiscence ?
Je commençais réellement à paniquer. Je voulais tout arrêter. Je regardais Salim pour le lui dire, mais au regard désolé quil me lança, parce quil avait compris mon état desprit, je me retins de le lui dire. Il me prit la main et y déposa un léger baiser de reconnaissance. Je mangeai sans appétit, le cur battant la chamade et très angoissée par ce qui allait advenir, dans très peu de temps maintenant. Nous terminâmes de manger et Salim me fit son plus beau sourire, pour minviter à me lever. Jhésitais encore un peu, puis je me levai. Javais les jambes flageolantes et je dus me retenir à la table, pour ne pas tituber. Salim me prit le bras et me soutint jusquà lascenseur, que nous prîmes jusquau cinquième étage, où se trouvait la grande chambre qui nous était réservée.
Nous pénétrâmes dans la chambre. Elle était en effet très grande avec au milieu, mais collé au mur, un immense lit, quon dirait spécialement fabriqué pour ce qui allait se passer. Je continuais de trembler un peu et davoir la gorge nouée et le cur serré. Salim menlaça tendrement et membrassa sur la bouche. Un petit baiser plein de tendresse et de reconnaissance. Comme sil ressentait toutes mes angoisses et mes appréhensions et quil me remerciait de rester uniquement pour lui faire plaisir et pour que lui, prenne son pied. Il môta le léger manteau que je portais, me regarda avec des yeux remplis damour. Il me prit par la main pour memmener vers le lit, sur lequel il me fit assoir. Il membrassa encore, puis sans rien dire, il tira de sa poche un foulard en soie noire quil plia en huit, pour en faire un bandeau qui ne laissait rien passer, pas même un peu de lumière. Il le posa sur mes yeux que jétais obligée de fermer et lattacha fortement derrière ma tête.
Jétais vraiment aveugle. Je me remis à trembler dangoisse. Salim me caressa le visage, membrassa sur les joues et me dis :
- Tu es la plus belle chose qui mest arrivée dans ma vie ! Je taime tant ! Et aujourdhui, je taime encore plus ! Parce que je sais ce que tu es entrain de ressentir, rien que me faire plaisir ! Ne ten fais pas, tu verras combien tu seras heureuse davoir vécu ce que tu vas vivre ! Promets-moi, que quoi quil arrive, tu nenlèveras pas ton bandeau ! Si tu lenlèves, ce serait comme si rien ne se serait passé. Promets !
- Oui !
Il me fit asseoir le plus confortablement possible sur le bord du lit, me dit dattendre ainsi quelques minutes, sans bouger. Jentendis quil quittait la chambre et je restai seule environ une dizaine de minutes, le cur battant et lesprit vaporeux. Jétais dans une position dattente ; tous mes sens étaient aux aguets, surtout louïe. Jentendais au loin les bruits de la ville et même ceux de lhôtel. Je guettais les pas qui annonceront larrivée de mes prédateurs. Des hommes qui allaient faire de moi leur esclave sexuelle ! Jécoutais et je me disais quau bruit quils feraient, je saurais combien ils étaient. Javais tout faux ! Je nentendis absolument rien, jusquau moment où la porte souvrit et se referma, deux secondes plus tard. Jétais prise de panique. Je voulus crier, mais aucun son ne sortit de ma bouche. Jétais comme paralysée. Et en attente ! Jattendais presque impatiemment que quelque chose de concret se passât.
Ce furent des mains, puissantes, qui semparèrent subitement de mes épaules, de ma poitrine et de mes cuisses qui me tirèrent de ma position dattente angoissée. Les mains qui me tenaient par les épaules me forcèrent à mallonger sur le dos en travers du lit. Celles qui étaient sur ma poitrine me palpaient et caressaient les seins. Et celles qui sétaient emparées de mes jambes me relevaient la robe, écartaient mes cuisses et menlevèrent brutalement la culotte. Je ne savais pas ce que je ressentais vraiment. Mais je navais plus peur. Dès que javais senti les mains sur moi, jétais rassurée. Jétais en pays connu ! Des mains dhommes qui me tripotaient, jen avais connu beaucoup. La seule question que je me posais en ce moment, cétait ce que je ressentais en termes de désir et de sexe.
Les mains qui me tripotaient la poitrine étaient vraiment douces. Elles nécrasaient pas mes seins ni ne pressaient trop fort sur eux comme laurait fait un rustre ou une brute. Elles me caressaient exactement comme javais toujours aimé être caressée à cet endroit : doucement, avec les doigts sur les tétons. Puis je sentis, au souffle chaud quelle dégageait, la tête de linconnu se rapprocher de ma poitrine et ses lèvres, douces et fermes, se poser sur mon sein droit et se promener dessus, créant en moi un formidable émoi. Les lèvres étaient si douces et si fermes ! Et le souffle si chaud ! Je mimaginais cette tête, que javais envie dattr pour la forcer à rester sur place. Je ne pus mempêcher denvoyer ma main pour la poser sur la nuque de linconnu. Je rencontrai une chevelure fournie, avec des cheveux très fins et doux, quinvolontairement je me mis à caresser. La pression des lèvres sur mon sein se fit plus forte, comme si linconnu avait compris ce que je voulais. Il passa même à lautre sein pour lui appliquer le même traitement. Je commençais vraiment à ressentir du plaisir.
Lautre inconnu, celui qui soccupait de mes cuisses, avait des gestes plus brusques. La manière brutale dont il marracha la culotte et mécarta les cuisses indiquaient un homme qui bandait très fort et qui avait envie de me tirer sans préparation aucune. Je sentis une main immense et puissante se poser sur ma chatte nue et se mettre à la branler énergiquement. Il me faisait mal, tout en mapportant du plaisir. Je sentis deux doigts suivre la raie dentre mes grandes lèvres et faire deux ou trois allers-retours. Subitement, sans crier gare et sans même que je men aperçoive, ma chatte se mit à couler. Jentendis comme un rire que lon tentait d, mais qui devait indiquer le contentement de mon inconnu de voir que javais envie de me faire tirer.
Les deux doigts sarrêtèrent devant lentrée de mon vagin et, lentement, pénétrèrent à lintérieur avec un demi-mouvement rotatif. Je retins in extremis, un cri de plaisir qui allait méchapper. Mon inconnu ne se laissa pas tromper : il sentait bien toute la mouille que lexcitation et le désir étaient entrain de me faire produire. Il savait que je nallais pas tarder à manifester fortement mon désir dêtre baisée et mon plaisir dappartenir à lhomme qui allait me tirer. Je me retenais encore, pour je ne sais quelle raison : cétait comme si je devais absolument résister pour montrer ma volonté de ne pas céder. Cétait comme si je voulais prouver que je néprouvais aucun plaisir à me faire entreprendre comme cela. Que jétais un être humain, pas une poupée à qui on pouvait faire tout ce quon voulait. Mais au fond de moi, jétais déjà vaincue par le désir et le plaisir. Même si je ne voyais rien, ce que je ressentais et ce que jimaginais étaient suffisants pour me transporter vers le pays du plaisir sexuel ; vers le bonheur !
A partir de ce moment, tout saccéléra. Dabord, je sentis une masse se poser sur le lit à côté de ma tête et une main me prendre le menton pour mobliger à tourner le visage vers son côté. Je ne pus résister à la forte pression de cette main et tournai le visage comme le voulait linconnu. Immédiatement je sentis quelque chose dont je connaissais et aimait lodeur, un beau sexe dhomme, se poser sur mes lèvres et faire pression sur elles pour que je les ouvre. Jenlevai la main qui caressait la nuque de mon premier inconnu, pour aller à la recherche du zob qui voulait pénétrer ma bouche. En tâtonnant, jempoignai le manche dun immense zob que jarrivais difficilement à saisir avec une seule main, tant il était imposant. Cest à ce moment là que je sentais combien la vue était précieuse : je voulais regarder et admirer le magnifique vit que je tenais dans ma main.
Je ne me fis pas prier pour ouvrir grandement la bouche et laisser pénétrer le monstre à lintérieur. Je pris tout de même la précaution de ne pas le lâcher, sachant la tendance naturelle des hommes à vouloir immédiatement aller au fond de la gorge et provoquer des envies de vomir. Lhomme qui était au bout du gros zob, essaya bien évidemment de pousser le gland jusque derrière la glotte. Je len empêchai en serrant le manche pour quil sarrête à la limite de la gorge. Il fit faire des allers-retours furieux à son engin dans ma bouche. Jentendais les petits gémissements rauques que mon baiseur de bouche poussait à chaque pénétration.
Le deuxième homme, celui qui soccupait de ma chatte faisait faire à ses deux doigts des mouvements semi-rotatifs de plus en plus profonds et de plus en plus rapides dans ma chatte. Je sentais le plaisir monter en moi et devenir incontrôlable. Nétait le gros zob qui occupait ma bouche, je me serais certainement mise à gémir et à crier. Peut-être même à dire toutes les cochonneries, qui font partie de ma manière de prendre du plaisir. Et puis les doigts arrêtèrent subitement leur mouvement et se retirèrent de ma chatte, laissant en moi un vide et une déception, que je ne pouvais pas exprimer.
Mais les doigts furent vite remplacés. Par beaucoup mieux ! Un immense zob, bien dur et super doux ! Je sentis en effet mon homme se placer entre mes cuisses, me soulever les jambes avec ses deux mains puissantes pour les maintenir relevées et écartées au maximum. Et puis je ressentis très fortement le gland dur, large et chaud dun immense sexe se poser entre mes grandes lèvres. Mon Dieu cette sensation dattente ! Jattendais impatiemment de le sentir à lintérieur ! De le sentir pénétrer ma chatte et la posséder ! Jattendais les coups de bassin qui allaient pousser lengin jusquau fond et lobliger à limer furieusement les parois de mon vagin. Jattendais dêtre emportée au paradis par ce monstre que je ne voyais pas, mais dont je sentais la force et la puissance ! Jattendais mon maître !
Trois hommes étaient sur moi ! Jen étais sûre ! Il avait celui qui me tirait furieusement et dont jentendais les ahanements de bûcheron ! Il y avait celui à qui je faisais, sans le voir et sans voir son engin planté dans ma gorge, une fellation denfer. Il essayait furieusement de me baiser par la bouche mais je lui interdisais quil aille trop loin, en serrant fortement son manche, dès quil montrait des velléités daller au-delà de la limite de ma gorge. Et il y avait cette bouche et ces mains qui soccupait de ma poitrine et qui créait à cet endroit un océan de chaleur et de douceur ! Ce fut ce dernier qui quitta la place pour aller soccuper de mon cul.
En effet, pendant que lhomme qui soccupait de ma chatte continuait son pilonnage, une main était venue me caresser les fesses en dessous du monstre qui me tirait. Je sentis une main douce et chaude la même douceur et la même chaleur que celle que javais sur la poitrine, il y avait encore quelque secondes me palper les fesses et aller insidieusement sur la raie et, plus insidieusement encore, sur lanneau de mon anus. Je sentis un doigt, puis deux, pénétrer dans mon cul et faire un mouvement de va-et-vient à lintérieur, accompagnant le zob qui matraquait ma chatte. Cette sensation de double pénétration ! Cette sensation de frottement des doigts et du zob qui se croisaient ! Jen oubliais jusquau manche qui continuait à aller et venir dans ma bouche. Oubli, dont profita mon baiseur de bouche, pour forcer lobstacle de ma main, qui avait relâché sa surveillance, et aller titiller ma glotte et vouloir aller au-delà. Javais failli vomir, nétait le réflexe de ma main de serrer très fort le sexe, pour le faire sortir de la place.
Le manège à trois continua pendant un bon moment. Je ne pensais absolument plus à rien, sinon à faire durer le plaisir et le moment venu, avoir le plus puissant orgasme de toute ma vie amoureuse. Je ne croyais pas si bien dire. Comme sils sétaient concertés, mes trois hommes arrêtèrent ce quils étaient entrain de faire. Celui qui me tirait sortit un instant de ma chatte; comme celui à qui je faisais une fellation et celui qui était entrain de me branler lanus. Je sentis une masse lourde sallonger à côté de moi, en travers du lit; puis deux puissantes mains me soulever et mobliger à me mettre à califourchon sur lhomme allongé. Je devinais que je devais mempaler sur le gros zob qui tout à lheure pilonnait ma chatte (ou celui dun des deux autres hommes). Ce qui créa immédiatement en moi une ondée de plaisir.
Je voulais mettre la main pour guider le mouvement, mais je nen eus pas le temps. Je sentis très vite le gland large, dur et doux dun sexe se positionner entre mes grandes lèvres et le mouvement montant des hanches qui fit pénétrer le monstre jusquau fond de mon intimité. Je nétais pas sûre quil sagît du même zob qui mavait possédée tantôt. Celui-là me paraissait encore plus gros et plus long.
Deux mains maintenaient mes hanches à mi-hauteur. Je connaissais cette position qui préparait une double pénétration, par deux magnifiques engins. Javais toujours adoré la sensation de deux formidables zobs qui soccupaient ensemble de mes deux trous. Et comme tout à lheure, je me mis inconsciemment en position dattente. Jattendais la sensation dun gland, dur comme de la pierre mais très doux, qui viendrait se poser sur mon anus. Jattendais cette poussée brutale - au même moment où le zob qui soccupait de ma chatte allait senfoncer de nouveau dans mon vagin - qui défoncera mon anus et ira à la rencontre de son compère dans mon autre tunnel. Et ce fut bien ce qui arriva. Mes magnifiques amants inconnus occupèrent mes deux orifices et allaient et venaient de concert dans mes deux boyaux. Jallais mourir de plaisir !
Jallais me mettre à hurler que jétais au paradis, que jaimerais que cela dure encore une éternité, que jaimais mes deux hommes qui me possédaient tels des taureaux fougueux, que jaimais cette sensation de brûlure dans mon cul et dans mon vagin. Mais je ne pus absolument rien dire. Le troisième zob, laissé en déshérence jusque là, vint soccuper de ma bouche. Une main vint en effet me prendre par le menton pour me faire relever le visage, puis appuyer fortement sur mes joues pour mobliger à ouvrir la bouche. Le gland dun troisième sexe vint se placer entre mes lèvres et pousser fortement pour pénétrer à lintérieur de ma bouche. Je ne pouvais pas attr le manche pour empêcher le zob daller trop loin, car mes mains étaient occupées à me maintenir en équilibre sur la poitrine de lhomme que je chevauchais. Je ne pouvais que prier le ciel, pour que lhomme qui me baisait par la bouche y aille doucement et ne cherche pas à me défoncer la gorge.
Je ne sais pas combien avait duré la séance. Au bout dun long, un très long moment, où je connus beaucoup de plaisir - et aussi quelques alertes dues à mon amant dont le zob voulait absolument aller jusque dans mon estomac et que javais du mal à lui faire retirer - je sentis mes hommes sur le point de jouir. Tout comme moi dailleurs, qui sentais arriver lorgasme le plus puissant et le plus complet de ma vie de baiseuse. Le premier qui éjacula fut celui qui soccupait de ma bouche. Je le sentis soudain se crisper, pousser un long gémissement, et menvoyer une première giclée dans la bouche. Il se retira immédiatement, mais je le sentais encore tout près de ma figure: lodeur du zob était encore à proximité et jentendais les clapotis que faisait une main entrain de masturber fortement un sexe, pour quil éjacule. Les deuxième, troisième et quatrième giclées vinrent fouetter mon visage, mon cou et le haut de ma poitrine. Je sentais la sensation de viscosité et de chaleur du sperme qui coulait sur mon visage et allait sécouler en dessous de moi. Je supposais que cétait sur la poitrine de lhomme que je chevauchais que le foutre allait sétaler. Jaurais aimé pouvoir vérifier en mettant une main et des doigts, mais la position dans laquelle jétais ne me permettait pas de libérer une de mes mains.
Lhomme qui menculait eut le deuxième orgasme. Lui, il eut un long râle de plaisir et poussa encore plus fort et plus vite son bassin pour aller encore plus loin dans mon rectum. Je sentis le sperme brulant quil déversa dans mon cul et qui ressortait au fur et à mesure quil allait et venait furieusement dans mon boyau. Jimaginais le sperme, mélangé aux sécrétions de mon cul, couler de dessous mes fesses et venir sétaler sur le drap du lit, sur lequel nous étions. Cette image me procura une excitation encore plus intense. Jétais au bord de lexplosion. Maintenant que ma bouche était libre, je pouvais exprimer mes sensations par la voix. Non seulement je criais et gémissais très fort, mais en plus je me mis à parler à crier plutôt et dire des cochonneries qui ajoutaient à mon plaisir de jouir et à mon bonheur damante satisfaite :
- Bon ! Bon ! Zobs ! Gros zobs ! Jadore gros zobs ! zob dans mon hatchoun ! zobs dans mon cul ! Zobs ! Zob ! Hatchoun !
Mes hommes étaient restés jusque là silencieux. Cétait certainement une instruction de la part de Salim. Ils avaient respecté linstruction, sauf lhomme que je chevauchais et qui étaient entrain de pilonner furieusement mon vagin, qui ne put se retenir, en entendant les gros mots que je lâchais avec frénésie.
- Tiens chienne ! Att le gros zob de ton maître ! Sens sa force ! Cest lui ton maître ! Dis-le, chienne que cest lui on maître ! Dis-le ! Dis que tu es une chienne ! Que tu aimes être une chienne ! Ma chienne ! Notre chienne ! Dis-le ! Je vais jouiiiiir !
- Je suis une chienne ! Une chienne ! Une chienne !
Et tous les deux nous partîmes dans un orgasme monumental. Moi en hurlant que jétais une chienne, lui en poussant un interminable râle, qui ne finit quavec tout le sperme quil éjacula en une très longue giclée. Nous restâmes ainsi, moi dessus mon amant, pendant de très longues minutes, nécessaires à nous faire reprendre notre souffle et notre rythme cardiaque, qui sétaient affolés. Et puis plus rien. Deux bras puissants me firent lever de dessus mon amant et me reposèrent sur le lit. Un chuchotement dans mon oreille, pour me dire merci. Et puis le silence. Un silence lourd, qui dura environ cinq minutes pendant lesquelles, langoisse du début me reprit jusquau moment où je sentis une présence à mes côtés et deux mains qui soccupaient de dénouer le bandeau que je portais, depuis trop longtemps (je sus par la suite que la séance avait duré en tout une heure et demie).
Je mis quelques secondes à me réhabi à la lumière et à distinguer, dabord de manière floue puis plus distinctement, Salim qui me serrait dans ses bars. Salim qui avait les larmes aux yeux de bonheur, me dit-il et qui répétait sans fin quil maimait. Que jétais toute sa vie ! Que je lui donnais tant de bonheur ! Salim qui mexpliqua tout le plaisir que je lui avais donné en me regardant me faire prendre par trois hommes, sans que je sache qui ils étaient et comment, ils étaient faits. Il avait surtout aimé la fin quand je me mis à parler, à dire toutes ces choses qui maidaient à accroître lintensité de mon orgasme et quand il me vit jouir comme une folle. Il me dit que pendant tout ce temps là, il sétait masturbé et avait joui à plusieurs reprises. Il me dit quil avait vraiment aimé me regarder passer de langoisse la plus profonde au bonheur total.
- Je taime tant !
Salim avait seulement oublié une chose. Ma curiosité. Je voulais savoir qui étaient les hommes qui avaient été mes maîtres, et dont javais été lesclave, pendant une heure et demie. Jinsistais vraiment. Tout en sachant quil nallait pas lâcher son secret. Il mavoua seulement quil avait choisi les trois hommes sur un seul critère : leur virilité. Ils avaient tous les trois de gros et grands zobs et étaient tous des baiseurs presque professionnels (Ils avaient tous plusieurs maîtresses et les satisfaisaient toutes). Je voulus bluffer pour lui tirer les vers du nez.
- Jai parfaitement reconnu au moins lun des hommes. A son odeur et à sa moustache !
- Qui ça ?
- Le patron de lhôtel !
- Absolument pas ! Dailleurs aucun des hommes qui tont possédée ne portait de moustache. Tu es entrain de prêcher le faux pour avoir le vrai ! Par contre je pense que le patron de lhôtel ta vraiment tapé dans lil et que tu voulais quil soit parmi tes trois amants ! Dis-moi que jaffabule !
- Non tu naffabules pas ! mentis-je effrontément. Jai pris mon pied en imaginant que lhomme qui était entrain de menculer, cétait toi et que jétais à califourchon sur le patron de lhôtel. Cela ma beaucoup aidé à prendre du plaisir.
- Tu veux devenir la maîtresse du patron de lhôtel ? Tu veux que je te lemmène, pour que vous finissiez la nuit ensemble? Cela me fera vraiment plaisir de toffrir à lui !
- Tu nen as pas eu pour ton argent, depuis tout à lheure ? Cela ne te suffit pas pour aujourdhui ?
- Non si tu me dis que tu as vraiment envie de te faire tirer par mon ami Krimo ! Cest un vrai étalon ! Un homme réputé pour son endurance ! Un homme qui ne se suffit jamais dune seule fois ! Ni même de deux ! Tu es partante ?
- Non pas pour aujourdhui ! Une autre fois peut-être ! Maintenant je veux prendre une douche et dormir entre tes bras ! Et plus si tu veux ! Mais rien quavec toi !
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